oke, kali ini gue mau ngebahas tentang salah satu Penulis terkenal Perancis, yang waktu awal-awal gue belajar litterature, selalu salah nyebutnya. dari Pizan, malah pisang . oke, inilah dia Christine de Pizan.
La biographie de Christine de Pisan
Christine de Pisan née à
Venise vers 1364 et morte
vers 1432 , est une philosophe et poétesse française de naissance italienne. Son père s’appelle Thomas de Pizan
et il travaille comme le médecin et astrologue. Christine de Pisan est
considérée comme la première femme de lettres française.
Christine reçoit à la cour l’éducation donnée aux
jeunes filles de la noblesse et commence à composer des pièces lyriques. Elle a été
impliquée dans la première querelle littéraire française que certains
considèrent comme un manifeste, sous une forme primitive, du mouvement
féministe. Christine de Pisan arrive en
France en 1368 avec son père. À l’âge de
25 ans, elle charge ses 3 enfants, à cause de la morte de son mari. Et pour
remplir sa vie et sa petite famille, elle travaille comme un ecrivain, metier
exclusivement réservé aux hommes. Elle se réfugie alors dans l’étude et
compose une série de pièces lyriques compilées dans Le Livre des cent
ballades qui obtiennent un grand succès.
Ses Œuvres
Elle compose des traités de politique et de
philosophie, et des recueils de poésies. Ses poèmes sont organisés dans des
recueils selon une trame narrative, beaucoup de ceux-ci sont tirés directement
de son expérience personnelle comme Seulette suy et seulette vueil estr.
Elle écrit aussi de nombreux ouvrages didactiques, comme Livre du corps de Policie en 1408 et lyriques, Cent ballades d’amant et de dame (1390-1410).
En 1399 ou au moyen âge, elle ecrit l’Épître au dieu
d’amours qui montre le premier témoignage du combat feministe. Elle s’insurge
contre le mépris avec lequel les femmes sont traitées par Jean de Meun dans le Roman de la rose. À la fin de
sa vie, elle écrit un Ditié de Jeanne d'Ar en
1429c. On lui
doit, entre autres, Cent ballades d'amant et de dame et la Cité des dames.
Contre
les médisants
D
|
ieu, quels beau parleurs! Dieu, quelles
assemblées où l’on piètine l’honneur des dames! Quels profit peuvent tirer de
leur diffamations ceux-là mêmes qui devraient s’armer pour les garder et les
defendre? Car tout homme devrait s’attendrir à l’égard d’un sexe auquel il doit
sa mère, qui n’a pour lui ni méchancete ni cruauté, mais douceur et amibilité,
qui lui n’a pour lui ni aide besoin et lui rend tant de services pour la
conduite de sa vie. De la naissance à la mort, les femmes lui sont sécourables,
pitoyables, douces et serviables. Qui en médit fait preuve d’ignorance et
d’ingratitude. Je dis que l’homme se rabaise en injuriant, colomniant ou blâmant
les femmes séparemment ou en totalité. À supposer qu’il y en ait de sortes ou
affligées de plusieurs défauts, sans foi, légères, versatiles, cauteleuses,
fausses et trompeuses, doit-on pour autant les comdamner toute décider en bloc
qu’elles ne valent rien ?
Ce
poème a été écrit en 1399 dans l’ouvre de Christine de Pisan ayant le titre Épître au dieu d’amour. Cette poèsie
parle des hommes qui méprisent la femme et ils parlent aussi du mal a l’honneur
des femmes. Ils pensent que leur honneur est plus haut que l’honneur de femme.
Il faut qu’ils gardent et defendent la femme comme leur mère. Les hommes
considerent que la femmes est une creature fragille, mais en verite la femme
est une personnes forte, parce qu’elle peut accoucher un enfant à ce monde.
Dans
cette ouvre, elle veut montrer que les femmes doivent être egaux avec les
hommes. Il n’y a pas de discrimination entre eux et les hommes doivent les
respecter. Car en blamant les femmes, c’est-à-dire, ils medisent aussi leur
mère.
À
l’epoque de.......... , ou a l’epoque du roi Firaun, les parents ont tué leur
fille, parce qu’ils pensent avoir une fille est une honté pour le nom de sa
famille. Ils la tuent en enterrant en vivant sans avoir la pitié. Ils pensent
qu’avoir une fille est la honte pour sa famille.
Apres
avoir lu ce poète, j’ai tombé amoureuse de Christine de Pisan. Car elle montre
l’honneur de femme et elle n’est pas peur de défendre le prestige de femme. Son
œillet me fait souvenir de Raden Ajeng Kartini ou on apelle Kartini. Elle l’un
des héros en Indonésie qui lutte le droit de femme pour étudier et choisir ce
qu’elle veut. Puisqu’elle viend de famille noble (son père est le régent de
Jepara), elle reçoit l’education qui est plus élèvé qu’autres femme à cette
époque, même seulement jusqu’a l’école primaire. Grâce à sa savoir de parler
bien l’hollandais, il peut lire et etudier les livres hollandais. Grace a cette
raison, elle a beaucoup de connaissances et elle peut les enseigner a l’autre
femme a sa village.
D’après
elle, tous les gents ont le même droit pour vivre, pour travailler et pour être
respecté et sourtout pour les femmes parce qu’elle une mère. Est-ce qu’il y a
la personne qui n’a pas de mère? Rien, je pense. Et d’après moi, il faudrait
que le degré d’une femme devrait être
plus haut pour respecter leur sacrifice pour qu’on puisse vivre dans le monde.
Et grâce à elle, je suis très fière d’etre une femme.
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